Sur les coteaux de ton corps que la rivière arrondit, je glisse doucement dans tes cheveux, je ne cesse de humer le vin de l'avenir.....
A cet instant précis où le manque m'envahit, un seul instant d'Amour rouvre l'Eden fermé.....
A chaque crépuscule, te regarder t’éveiller et t'embrasser,
Dans tes yeux chaque jour j'aime à me noyer et ce soir plus encore,
Ton visage guide le fil de mon poème et celui de ma Vie,
Parce que je te dis « Je 'Aime »,
Et que ces mots font mal quand ils sont dit sans toi..... »
15 Mai 2015
COPYRIGHT ©Texte Protégé Myrlène SARRAZIN 13 Mai 2015